Lesconnaissez-vous ? Oui ou non, vous allez pouvoir mesurer à partir du 6 juin jusqu'au 12 juillet 2011 vos connaissances sur le site toute l'équipe de C'est pas Sorcier et remporter de cadeaux pour cuisiner ! C'est quoi qualitivi.com ? Il s'agit de la web tv des viandes de qualité à laquelle le CIV contribue pour une Enutilisant la vidéo « C’est pas sorcier : La conservation des aliments », répondre aux questions. 1) Que peut-il arriver à des aliments mal conservés ? Les aliments se dégradent, (modification du goût, de l’odeur, de l’aspect), se recouvrent de moisissures (levures) et les bactéries contenues dans l’aliment prolifèrent. C'est pas sorcier" Les filières de la viande (TV Episode 2000) photos, including production stills, premiere photos and other event photos, publicity photos, behind-the-scenes, and more. Menu. Movies. Release Calendar Top 250 Movies Most Popular Movies Browse Movies by Genre Top Box Office Showtimes & Tickets Movie News India Movie Spotlight. TV Shows . What's on TV & Choisirune viande de qualité est une question d’éthique. Chez Biocoop, notre viande (agneau, boeuf, veau, porc, volaille) est 100 % bio et origine France ! Elle provient en majorité de 5 groupements de producteurs. La qualité passe par un cahier des charges plus exigeant que le règlement bio européen : fermes 100 % bio en polyculture/élevage, tailles d’élevage limitées, Moinsde viande mais de meilleure qualité . Choisir une viande de qualité est une question d’éthique. Chez Biocoop, notre viande (agneau, bœuf, veau, porc, volaille) est 100 % bio et origine France ! Elle provient en majorité de 5 groupements de producteurs. La qualité passe par un cahier des charges plus exigeant que le règlement bio européen : fermes 100 % bio en Lesfilières de la viande: 2000: Christine Berthollier: Fred et Jamy: Depuis un élevage, présentation des races de viande bovine que nous consommons ; comment les soigne-t-on et les nourrit-on ? Les produits laitiers: 2000: Christine Berthollier: Sabine et Jamy: La santé vient en mangeant ! Les secrets du chocolat: 2011: Yann L'Henoret: Sabine et Jamy: Les trésors des salins du midi: q7kTp3B. Une centaine d’exposants locaux et étrangers sont attendus. Les professionnels marocains veulent proposer plus de produits à valeur ajoutée. Augmenter et consolider les débouchés à l’étranger. C’est l’objectif de l’édition 2015 de MaroCarne&Milk, salon professionnel des filières des viandes rouges et du lait qui se tiendra du 2 au 4 décembre à Casablanca. Organisé par la fédération interprofessionnelle des viandes rouges Fiviar et la fédération interprofessionnelle marocaine du lait Fimalait, ce salon, qui en est à sa troisième édition, est un rendez-vous de référence s’adressant aux opérateurs des deux filières, qu’ils soient éleveurs, importateurs, distributeurs, fabricants de matériels, d’intrants ou transformateurs de lait et de viande. Si, lors de l’édition de 2013, 40% des exposants provenaient des pays européens Allemagne, Pays-Bas, France, Espagne, Belgique, Italie, les organisateurs entendent, pour la présente, attirer des exposants de l’Afrique de l’ouest, notamment du Gabon, du Mali et du Niger. Des campagnes d’information sont programmées dans ces pays en vue de les sensibiliser au savoir-faire marocain en matière de production animale. Diversification de l’offre En plus de l’exposition qui réunira une centaine de professionnels locaux et étrangers, il est prévu des conférences et des ateliers traitant des problématiques sur les produits animaux dans le système alimentaire et nutritionnel des consommateurs, le profil des consommateurs et la sécurité sanitaire à travers la traçabilité des produits. Ces conférences permettront aussi de présenter les deux filières qui bénéficient, dans le cadre du Plan Maroc Vert, de programmes d’accompagnement en vue d’un développement à l’horizon 2020. Pour les viandes rouges, le plan vise à dynamiser toutes les activités en amont et en aval de la filière. Les actions devraient se traduire par une augmentation de la production. Il est ainsi attendu 612 000 tonnes en 2020 pour un chiffre d’affaires de 35 milliards. La stimulation de la consommation est également visée à travers une plus grande valorisation de la production des viandes et une diversification de l’offre. Actuellement, la consommation moyenne se situe à 14,2 kg par an et devrait atteindre 17,3 kg en 2020. La filière laitière, qui compte 300 000 vaches laitières et 1,2 million de têtes de femelles productrices, 2 700 centres de collecte de lait et 82 usines laitières, devrait également se transformer. Placée au cœur des priorités du PMV, elle devrait voir, grâce à l’amélioration génétique du cheptel, l’intensification de l’insémination artificielle et l’encadrement des fermes, ses performances s’améliorer. Ainsi, en 2020 la production atteindra 4 milliards de litres contre 2,7 milliards en 2015. La consommation également suivra cette tendance puisque les professionnels prévoient son alignement sur les normes internationales, soit 90 litres par habitant et par an. Le chiffre d’affaires passerait de 20 à 38 milliards de DH. Réduction des effectifs, filières à l’arrêt,… Malgré les contraintes, la filière viande s’est réorganisée pour répondre à une demande toujours plus aléatoire. Face à l'épidémie de Covid-19, la filière viande a dû s’adapter en urgence pour répondre à une demande très variable. Nous avons connu un pic au tout début du confinement, qui s’est radicalement stoppé quelques jours plus tard. Depuis, la demande est très variable les commandes sont aléatoires et peuvent être annulées le jour même. C’est devenu impossible d’anticiper, d’autant plus avec l’absence de visibilité sur la durée du confinement », affirme Mathieu Pecqueur, directeur général de Culture Viande. Cette baisse drastique de la consommation cible des produits précis. Les débouchés sont restreints car les rayons traditionnels et la partie RHD sont fermés. La situation est dramatique pour le veau et l’agneau il y a un tiers d’abattage en moins à l’heure actuelle », soulève-t-il. Sachant que la période de Pâques le 12 avril est un rendez-vous important pour la filière filière hachée, quant à elle, est tirée par une forte demande. La production a été multipliée par quatre Ce qui pourra poser problème à court terme car il est difficile de valoriser des pièces comme l’entrecôte en haché. De manière générale, les consommateurs s’orientent vers le libre-service car ils ont plus confiance en ces produits en termes de sécurité sanitaire », relève-t-il. Ce qui a eu un impact inévitable sur les lignes de production. Nous avons simplifié nos lignes et mis à l’arrêt certaines en l’absence de débouché. C'est le cas de la boyauderie », indique le directeur à 15 % de personnel en moins sur les lignesAutre source de tension, la réduction globale des effectifs de 10 à 15 % à l’échelle nationale. La situation est plus complexe dans le Grand Est où le taux d’absentéisme à date frôle les 30 %, en raison des arrêts de travail liés aux gardes d’enfants, quarantaine et congés maladies. Aucun outil est à l’arrêt mais nous sommes à la limite du faisable. Et cela va bientôt poser un problème de structuration », affirme Mathieu Pecqueur. Culture Viande prévoit également une extension de l’absentéisme dans la région Auvergne-Rhône-Alpes 25 % actuellement, très touchée également par l’ mesures barrières mises en placePour aider les entreprises à s’adapter à cette situation inédite, Culture Viande a partagé des fiches de pratiques présentant les différentes mesures barrières à mettre en œuvre. Nos adhérents avaient anticipé ces mesures. L’idée est de les centraliser et de voir comment les adapter à notre métier pour par exemple gérer les arrivées échelonnées dans les vestiaires ou la gestion des pauses », commente Aurélia Plessy, responsable des affaires sociales et des projets RH. Chaque fiche est dédiée à une thématique distanciation sociale, accueil du public, prévention. C’est également l’occasion de répondre à des interrogations comme la prise de température systématique. Car, comme le précise la Cnil, il s’agit de données personnelles et médicales, qui doivent être effectuées par un médecin du travail ou une infirmière d'entreprise. Dans ces conditions, on ne peut pas généraliser la mesure à toute l’entreprise. Pour autant, cela n’empêche pas de bien sensibiliser le personnel pour qu’il signale tout risque au moindre doute », illustre-t-elle. Culture Viande communique également sur les mesures sociales mises en place et sur les assouplissements du Code du travail. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus Accepter Documentaires LA FILIÈRE DE LA VIANDE - VHS Ref. TU9437 Emission C'EST PAS SORCIER - VHS. Le magazine de la science et de la découverte diffusé sur France 3. À bord d'un camion laboratoire, Fred le reporter et Jamy le pédagogue voyagent vers des sites insolites pour expliquer le monde qui nous entoure la nature, l'écologie, la technologie, la vie de tous les jours... Fred et Jamy décident d'observer de près la viande que nous mangeons. Ils se rendent dans un élevage afin d'expliquer quelles races de viande bovine nous consommons et de quelle manière on les soigne et les nourrit. Par la suite, ils parcourent la filière de la viande, de l'abattoir jusqu'à la distribution et s'attardent sur les contrôles vétérinaires qui sont effectués à chacune de ces étapes. Qu'est-ce que la maladie de la vache folle? Pourquoi l'Union Européenne a-t-elle levé l'embargo sur la viande d'origine anglaise? De quelles informations le consommateur dispose-t-il quand il achète de la viande? Que signifient les différents labels de qualité des poulets?... Intervenants De quoi elle parle e-za aujourd’hui… oui je sais bizarre cet article sponsorisé… mais pourquoi donc j’ai accepté cette campagne là ? Eh bien tout simplement parce que la viande j’aime ça, c’est le métier de mon papa et de mon grand-père. Avé la boucherie traditionnelle qui va bien avec et donc de bons produits choisis avec soin par des spécialistes. Toussa. ET puis parce que j’ADOOOOOOOOOOOOOORE l’émission C’est pas Sorcier ! Je l’ai toujours trouvé extrêmement bien faite, pédagogique, intelligente et drôle. J’envisage d’ailleurs l’achat des DVD pour Choupie qui est désormais en âge de les regarder et de comprendreun peu Donc, de quoi je dois vous parler aujourd’hui ? D’une campagne d’information du Centre d’Information des Viandes Viandes et Signes de Qualité C’est pas Sorcier! » sur les normes et les labels de qualité ou l’inverse. Sur le site depuis le 6 juin et jusqu’au 12 juillet, vous pouvez vous informer ET attention, ça devient encore plus sympa gagner des cadeaux ! Mais avant, je vous explique un peu les missions du Centre d’Information des Viandes CIV – assurer un rôle de médiateur entre le monde professionnel et son environnement, – vulgariser des données scientifiques et techniques, – informer sur les mesures prises par les professionnels de la filière, – rétablir une information objectivée grâce à des études scientifiques ou de consommation. Sa particularité un statut associatif et la volonté d’être un lieu d’échange et d’information grâce à son Conseil Scientifique, son Conseil Consommateurs et son Comité Ethique. Ses actions édition de documents, actions de proximité, animations ludo-pédagogiques, organisation de conférences, participation à des salons, campagnes presse d’information, site Internet, service de presse, photothèque et vidéothèque. La campagne Viandes et Signes de Qualité C’est pas Sorcier! » consiste donc en une mini-série éducative avec des ambassadeurs reconnus et légitimes les animateurs de C’est pas Sorcier Fred, Jamy et Sabine, mis en situation au sein de 7 épisodes visualisables donc sur le site Chaque film s’attache à informer le grand public des garanties apportées par chacun des signes officiels de qualité dans l’univers de la viande un goût supérieur Label Rouge, une qualité liée à l’origine AOC, AOP, IGP ou au respect de l’environnement Bio. Histoire, en gros, de comprendre ce qu’on achète ou pas et ce qu’on mange ou pas. A l’issu des vidéos, vous êtes invités, vous web spectateurs mot de mon invention, à répondre à un quiz, en y répondant bien hein, vous cumulez des points et à l’issu des 7 émissions, en juillet, vous pourrez peut-être gagner de beaux cadeaux Barbecues, Lave-vaisselle et on sait à quel point c’est indispensable, réfrigérateur américain un gros, piano de cuisson. Pour découvrir les vidéos et jouer, c’est là. A toi Jamy ! Article sponsorisé Vidéo virale par ebuzzing Dans le cadre de "Ça ne mange pas de pain !", L’émission radiophonique de la Mission AgrobiosciencesSteak options L’homme, l’animal et la viande en questions Sylvie Berthier En 2006, l’Ocha, l’Observatoire des Habitudes Alimentaires, organisait, à Paris, un colloque sur le thème L’homme, le mangeur, l’animal ». Durant deux jours, différents spécialistes, des anthropologues, des biologistes, des historiens, ont décortiqué l’évolution du lien intime qui s’est tissé entre l’homme et l’animal, de la nuit des temps à nos jours. Comme le rappelait alors Jean-Pierre Poulain, le sociologue de l’alimentation qui était directeur scientifique de ce colloque Les relations entre l’homme et l’animal se sont dramatisées avec les crises alimentaires qui se succèdent depuis 10 ans. Et leur impact est d’autant plus important qu’elles s’inscrivent dans des transformations structurelles du rapport des hommes à la nature et des mangeurs modernes à leur alimentation. » Au cours de ce Colloque, Geneviève Cazes-Valette était intervenue pour présenter les résultats de son étude sur les rapports hommes-animaux-viandes en France contemporaine. Geneviève, vous êtes Docteur en anthropologie sociale et ethnologie, Professeur de Marketing à l’Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse. Et l’épouse d’un éleveur, boucher halal... En quoi ce dernier statut a-t-il influencé votre travail de recherche sur nos rapports à l’alimentation et à la viande plus particulièrement ? Geneviève Cazes-Valette. Clairement, en matière de recherche, je ne m’intéresse qu’à ce qui me permet de mélanger vie privée et vie professionnelle. Je veux du plaisir dans ma vie professionnelle. En ce moment, je travaille sur les sportifs de haut niveau, parce que mon fils est rugbyman de haut niveau. On entend dire régulièrement que nous serons bientôt végétariens, que ce soit pour des raisons environnementales, de production de protéines, de bien-être animal... Est-ce que les résultats de votre étude confirment cette tendance ? Peut-être serons-nous végétariens dans plusieurs siècles, si la tendance se poursuit, mais certainement pas à court terme, en tout cas en France. Mes résultats montrent que les Français adorent la viande. Ce sont des viandards ». Il n’y a que très peu de véritables végétariens 1,2 à 1,3 %. Beaucoup de gens m’ont dit qu’ils étaient végétariens alors que, en réalité, ils mangeaient du poisson sans le moindre scrupule, voire même du jambon blanc ou du jambonneau. Pour eux, ce n’était pas de la viande. Ça m’étonnerait que cela évolue beaucoup ou du moins très rapidement. Sauf interdiction. Mais, même dans ce cas là, il y aurait un important marché noir. Cependant, il y a une évolution des représentations des animaux consommables, des espèces socialement mangeables, celles que vous dites être à la bonne distance. Comment évoluent les représentations du mangeur contemporain ? Quelles sont les grandes tendances par rapport aux espèces disponibles sur le marché ? L’évolution est conforme à ce qu’ont travaillé les anthropologues depuis très longtemps. On ne consomme pas les animaux très éloignés de nous donc trop bizarres, ni ceux qui sont trop proches. Vous ne mangeriez pas votre chien, en France, il n’a pas le statut d’animal mangeable. Beaucoup de personnes considèrent d’ailleurs que les animaux de compagnie font partie de la famille. Donc, l’évolution principale, que l’on constate sur les 20-30 dernières années, concerne le cheval. Cette espèce n’est consommée que par seulement 35% des ménages français et de manière furtive. On ne présente pas cette viande à des invités, de peur de passer pour un sauvage. On la mange au sein de la cellule familiale. Dans une moindre mesure, le lapin change aussi de statut. Il subit un peu, à mon avis l’effet Bugs Bunny et la mode des lapins nains. Les gens mangent moins facilement du lapin. C’est également du à l’apparence de l’animal entier dépecé. Présenté en découpe, il passerait plus facilement. Il semble qu’on trouve de moins en moins d’animaux entiers dans les linéaires et de plus en plus en découpe. C’est une tendance très claire qui a été identifiée par Noëlie Vialles. Cette antropologue parle de zoophages pour ceux qui acceptent de se représenter l’animal qu’ils sont en train de manger et de sarcophages pour ceux qui préfèrent ne pas reconnaître l’animal. Je pense que cette tendance sarcophage est liée à l’urbanisation, à l’éloignement de l’élevage et de l’acte de tuerie... Les gens préfèrent ne pas avoir une tête de veau qui les regarde avec reproche du fond du plat. Un steak de dinde ou du jambon, ça fait moins animal. Vous dites aussi que la viande peut être un marqueur social. On ne mangerait pas les mêmes viandes dans les catégories aisées et dans celles moins favorisées. Autrefois, manger de la viande était un signe de classe dominante. Ce n’est plus le cas. Ce sont même les classes dominantes qui sous-consomment la viande. Le marqueur social est inversé. On mange davantage de viande quand on est dans des classes modestes ou moyennes. Simplement, parce qu’on fait du rattrapage. Finalement, cela corrobore le statut luxueux de la viande. Ça ne le fait pas tomber de son piédestal. Simplement, les ouvriers ont d’abord cherché à gagner leur bifteck, puis à le défendre. Aujourd’hui, heureusement, ils ont leur bifteck, et j’espère que ça va durer. Vous avez également écrit, contrairement à ce qu’on dit depuis toujours Dis moi ce que tu manges, je ne te dirai pas qui tu es ». C’est par rapport à la question religieuse. Mon mari ayant tenu une boucherie halal, pendant longtemps, je peux témoigner que le fait de manger halal - donc des animaux tués selon le rite sacrificiel musulman, puisqu’on sacrifie encore en France pour les Musulmans et les Juifs - ne veut pas forcément dire qu’on est musulman. Et ne pas manger halal ne veut pas forcément dire qu’on ne l’est pas non plus. Donc, attention aux raccourcis rapides. Parfois, on mange halal simplement parce que le boucher est dans le quartier et qu’il n’est pas cher. Et tous les musulmans ne s’astreignent plus à manger halal, voire dans certains cas consomment tranquillement du porc sans que le ciel leur soit tombé sur la tête. Pour terminer, les femmes se seraient longtemps comportées d’une certaine façon vis-à-vis de la viande et les hommes, d’une autre. Ils sembleraient qu’aujourd’hui ils se rejoignent en une sorte de troisième sexe... En effet, la littérature décrit très bien qu’il y a eu des viandes d’hommes, les rouges, et des viandes de femmes, les blanches. Partant de l’hypothèse que les hommes s’adoucissent et que les femmes s’endurcissent un peu, je me suis demandée si un troisième sexe » n’est pas en train d’émerger. Il s’agirait de personnes moins sexuellement marquées par les rôles traditionnels assignés, et cela pourrait se lire dans leur manière de consommer la viande. Est-ce que les femmes dans mon style, avec une belle voix de mâle, mangent plus de viande rouge ? Est-ce que les hommes doux, non machos mangent plus de viandes blanches ? Eh bien oui. Il existe donc dans notre société des hommes très virils qui sont de gros mangeurs de viande rouge, des femmes très féminines qui sont de grosses mangeuses de viande blanche et, au milieu, des personnes qui ne sont pas dans des rôles sexués aussi marqués et dont les choix en termes de viande blanche ou rouge sont plus mitigés. Propos de table Discussion avec les chroniqueurs et les invités Bertil Sylvander. Avez-vous noté dans votre enquête que les consommateurs peuvent prendre en compte des facteurs plus éthiques, plus environnementaux dans leurs choix ? Certains disent-ils, par exemple, manger moins de viande rouge parce que c’est mauvais pour l’environnement ? Geneviève Cazes-Valette. Je ne me suis pas intéressée à la question de l’environnement dans mon enquête qui était déjà énorme. En revanche, je me suis intéressée au rapport à l’animal. J’ai mesuré le degré de compassion vis-à-vis des animaux en général et l’acceptation de l’abattage alimentaire, et j’ai corrélé les deux à la consommation de viande. Le résultat est fabuleusement paradoxal. Les classes sociales modestes sont beaucoup plus sensibles au mal-être animal et les classes dominantes assument totalement la domination de l’humain sur les espèces animales. En revanche, cela ne se concrétise absolument pas dans la consommation. C’est même le contraire les classes modestes consomment plus souvent de la viande et plus tranquillement de la viande, que les classes aisées. Je pense qu’il y a un discours socialement correct qui consiste à dire Oh, les pauvres bêtes », mais quand on a le steak dans l’assiette... c’est bon. Lucie Gillot. Maryse Carraretto, vous êtes allée ces dernières années à la rencontre de nombreux éleveurs des Pyrénées catalanes. Comment réagissez-vous à ce que nous venons d’entendre au regard de ces rencontres ? Maryse Carraretto. Les éleveurs que j’ai rencontrés sont très soucieux de leurs animaux tout au long de l’élevage, de leur naissance jusqu’à l’abattoir. Jusqu’au dernier moment, ils espèrent qu’ils seront abattus dans les meilleures conditions possibles. Geneviève Cazes-Valette. Je peux témoigner de ce souci qu’a eu également mon mari. Une vache sympa -il y en a une qui avait été baptisée Fayot, parce qu’elle n’arrêtait pas de venir le caresser- peut gagner un an ou deux de vie. Ce n’est pas mal dans une vie de vache. "Viande le nouveau péché de chair ?". L’intégrale de "Ça ne mange pas de pain ! ", juin 2009. >Lire sur le magazine Web de la Mission Agrobiosciences Viande, Y’a bon bactéries, revue de presse de la Mission Agrobiosciences, 8 novembre 2006 Conserves de viande, contrôles efficaces ?, revue de presse de la Mission Agrobiosciences, janvier 2007 Serons-nous bientôt obligés de nous priver de viande ?, le billet de la Mission Agrobiosciences, par Jean-Claude Flamant Manger au Moyen-Age à tout seigneur, toute humeur. Chronique Sur le Pouce suivie d’un entretien avec Gérard Garrigues, cuisinier, chef du Moaï. Dans le cadre de "ça ne mange pas de pain !" de décembre 2008, "Manger, c’est pas sorcier, mais..." Intégrale PDF Quel avenir pour l’omnivore de 2050 ? Serons-nous tous végétariens ?Une interview de l’anthropologue Annie Hubert, réalisée lors de "ça ne mange pas de pain !" de décembre 2007, Que mangerons-nous en 2050 ? Intégrale PDF. L’industrialisation de la production des viandes. Les Actes des deuxièmes Rencontres Agriculture, Alimentation & Société de la SISQA. Un atelier animé par Philippe Baralon. Cabinet Phylum, spécialisé dans le conseil, la stratégie et l’organisation des filières alimentaires Retrouver aussi toutes nos publications sur le bien-être animal "Ça ne mange pas de pain !" anciennement le Plateau du J’Go est une émission mensuelle organisée par la Mission Agrobiosciences pour ré-éclairer les nouveaux enjeux Alimentation-Société. Enregistrée dans le studio de Radio Mon Païs elle est diffusée sur ses ondes les 3ème mardi 17h30-18h30 et mercredi 13h-14h de chaque mois. L’émission peut aussi être écoutée par podcast à ces mêmes dates et heures. Pour En savoir plus.... A l’issue de chaque émission, le magazine Web de la Mission Agrobiosciences édite l’Intégrale, une publication d’une dizaine de pages, téléchargeable gratuitement. Retrouvez Toutes les Intégrales de "Ça ne mange pas de pain !" mais aussi toutes les chroniques et tables à toutes les Publications Alimentation et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’alimentation. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à toutes les publications l’Alimentation en question dans "Ça ne mange pas de pain !" anciennement "Le Plateau du J’Go". Les actes de l’émission de la Mission Agrobiosciences sur l’actualité de Alimentation-Société diffusée sur Radio Mon Païs les 3ème mardi 17h30-18h30 et mercredi 13h-14h de chaque mois. Revues de presse et des livres, interviews et tables rondes avec des économistes, des agronomes, des toxicologues, des historiens... mais aussi des producteurs et des cuisiniers. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences Accéder à toutes les publications Agriculture et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’agriculture. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à tous les Entretiens et Publications "OGM et Progrès en Débat" Des points de vue transdisciplinaires... pour contribuer au débat démocratique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à toutes les publications Sur le bien-être animal et les relations entre l’homme et l’animal Pour mieux comprendre le sens du terme bien-être animal et décrypter les nouveaux enjeux des relations entre l’homme et l’animal. Avec les points de vue de Robert Dantzer, Jocelyne Porcher, François Lachapelle... Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences Accéder à toutes les Publications "Sciences-Société-Décision Publique"de la Conversation de Midi-Pyrénées. Une expérience pilote d’échanges transdisciplinaires pour éclairer et mieux raisonner, par l’échange, les situations de blocages Science et Société » et contribuer à l’éclairage de la décision publique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à toutes les Publications Science et Lycéens. Les cahiers de l’Université des Lycéens, moment de rencontres entre des chercheurs de haut niveau, des lycéens et leurs enseignants. Des publications pédagogiques, agrémentées d’images et de références pour aller plus loin, qui retracent la conférence du chercheur et les questions des lycéens. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences Accéder à toutes les Publications L’agriculture et les bioénergies. Depuis 2005, nos articles, synthèses de débats, revues de presse, sélections d’ouvrages et de dossiers concernant les biocarburants, les agromatériaux, la chimie verte ou encore l’épuisement des ressources fossiles... Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences Accéder à toutes publications Histoires de... »- Histoire de plantes gui, luzerne, betterave.., de races animales, de produits foie gras, gariguette... pour découvrir leur origine humaine et technique et donc mieux saisir ces objets. Editées par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à toutes les publications. Sur l’eau et ses enjeux. De la simple goutte perlant au robinet aux projets de grands barrages, d’irrigations en terres sèches... les turbulences scientifiques, techniques, médiatiques et politiques du précieux liquide. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder à toutes les publications Produits de terroir, appellations d’origine et indications géographiques. Pour tout savoir de l’avenir de ces produits, saisir les enjeux et les marges de manoeuvre possibles dans le cadre de la globalisation des marchés et des négociations au plan international. Mais aussi des repères sur les différents labels et appellations existants. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences. Accéder aux Carnets de Voyages de Jean-Claude Flamant. De Budapest à Alger, en passant par la Turquie ou Saratov en Russie, le regard singulier d’un chercheur buissonnier en quête de sens. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences ACCEDER A LA TOTALITE DE LA REVUE DE PRESSE DE LA MISSION AGROBIOSCIENCES

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