Lecartographe a réalisé une carte de la répartition de la population mondiale que vous pouvez découvrir ci-dessous. Le responsable d'édition souhaiterait illustrer cette carte avec des Répartitionde la population. A l’échelle nationale, l’Andalousie est la deuxième communauté autonome d’Espagne avec 8 449 985 habitants sur une superficie de 87 591 kilomètres carrés, avec une densité de 97 hab./km2. Son voisin Murcie quant à lui à une population de 441 354 habitants pour une superficie de 886 kilomètres Le13 mars 2019 à 01:51:00 RegleGraduee a écrit :L - page 3 - Topic [PHOTO] Carte de la répartition MONDIALE de la CALVITIE du 13-03-2019 01:17:58 sur les forums de jeuxvideo.com Carteinteractive cliquez sur la carte pour les sixièmes mais qui peut-être utile aux troisièmes pour revoir les repères de géographie du Brevet ils pourront s'entraîner à localiser les grandes agglomérations Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + Créer mon blog. Ce site, animé par Mme Hainaut, est principalement destiné à ses élèves du collège Robert Cartedu monde relative à la part des adhérents à l'islam par État, exprimée en pourcentage de la population totale. À l'échelle globale, les adhérents à l'islam représentent environ 26,30 % de la population mondiale en 2020, contre 22,15 Enseptembre 2018, la revue Science a dévoilé une carte mondiale de la déforestation entre 2001 et 2015, mettant en évidence cinq grandes causes. Décryptage avec Paul Leadley, écologue à l’université Paris-Sud. De Julie Lacaze. Abattage pour la production agricole, exploitation forestière, feux de forêt, urbanisation et agriculture dVRwMar. Amegilla andrewsi, l’une des 20 000 espèces d’abeilles © Zestin Soh Les insectes sont au centre d’études récentes montrant des déclins de population, mais les données au niveau mondial sont imprécises et fragmentaires, parfois peu fiables. Les abeilles, ces insectes pollinisateurs, n’échappent pas à la règle. Or une équipe internationale est parvenue à réaliser pour la première fois une carte avec une répartition précise des espèces d’abeilles dans le monde entier. Leur étude est parue dans la revue Current Biology en date du 19 novembre cela, les chercheurs ont combiné et comparé deux grandes sources de données l’une provenant de cinq registres publics collectés par des scientifiques, des musées d’histoire naturelle, ou des bases de données issues de sciences participatives, comme le Gbif Système mondial d’information sur la biodiversité. L’autre est une liste de contrôle de plus de 20 000 espèces d’abeilles par pays, compilée par une équipe coordonnée par John Ascher, biologiste à l’université de Singapour et co-auteur de l’ vérification rigoureuse et exclusion des doublons, cet énorme ensemble de plus de 5800 millions de données s’est drastiquement réduit. Seuls 907 000 donc environ 16 % des enregistrements ont été conservés. La combinaison de ces groupes de données – l’un plus abondant, l’autre plus solide – a permis de créer des cartes qui offrent une image beaucoup plus claire et fiable de la répartition des espèces d’abeilles dans plusieurs zones géographiques du globe. Et de vérifier l’hypothèse selon laquelle il y a bien plus d’espèces d’abeilles dans les zones tempérées et méditerranéennes que dans les zones tropicales, contrairement à ce que l’on constate pour la plupart des autres organismes », souligne Adrien Perrard, chercheur spécialiste des abeilles et des guêpes, de l’université de Paris- laboratoire iEES-Paris et qui n’a pas participé à l’étude. Cette carte montre la répartition des abeilles dans le monde. Les zones plus sombres abritent davantage d’espèces © Orr et al./Current Biology En effet, de nombreux plantes et animaux suivent un modèle, connu sous le nom de gradient latitudinal », dans lequel la diversité augmente vers les tropiques et diminue vers les pôles. Les abeilles constituent une exception à cette règle, ayant plus d’espèces concentrées loin des pôles et moins près de l’Équateur c’est le modèle dit du gradient latitudinal bimodal ». Les résultats de l’équipe confirment qu’il y a plus d’espèces d’abeilles dans l’hémisphère nord que dans le sud, et plus dans les environnements arides et tempérés que sous les tropiques. Cette carte permet de mieux comprendre pourquoi on a une telle diversité de pollinisateurs à certains endroits et moins à d’autres, mais aussi d’identifier les zones prioritaires en termes de protection de la biodiversité pour ces pollinisateurs », explique Adrien espèces encore à découvrir Les États-Unis abritent, de loin, le plus d’espèces d’abeilles, particulièrement dans le sud de la côte ouest au climat sec et ensoleillé, mais il y a aussi de vastes régions du continent africain et du Moyen-Orient qui ont des niveaux élevés de diversité non découverte, plus que dans les zones tropicales », précise l’auteur principal de l’étude, John Ascher. Il y a enfin les zones méditerranéennes, et notamment la France nous sommes un des pays les plus riches en termes de biodiversité d’abeilles… et donc les enjeux de conservation ne se situent pas seulement dans des zones éloignées, tropicales ! », ajoute Adrien les pays avec un climat sec et ensoleillé, parfois même un environnement désertique, ont une flore propice au développement des abeilles, a contrario les forêts et les jungles abritent moins d’espèces d’abeilles, les arbres supplantant la flore dont elles se nourrissent. Cependant, nuance Adrien Perrard, la diversité des abeilles en forêt est méconnue et particulièrement en forêt tropicale, difficilement accessible », ce d’autant plus que dans ce dernier cas, la flore, riche, se niche dans la canopée, encore plus difficile à étudier. Un constat qui, soit dit en passant, illustre les biais et le manque d’information auxquels doivent faire face les scientifiques. Amegilla insularis pollinisant une fleur © Zestin Soh Cette étude offre pour la première fois une évaluation complète de la répartition et du déclin des populations d’abeilles à travers le monde. Car jusqu’à présent, le caractère fragmentaire et très localisé des données compliquait leur utilisation à des fins d’analyse à grande échelle » explique Alice Hughes, biologiste et membre de l’Académie chinoise des sciences, co-auteur de l’ la France ? Si la France a participé indirectement à l’étude grâce aux données versées dans le Gbif, il n’existe toujours pas de liste rouge des abeilles sauvages alors que d’autres pays d’Europe comme la Belgique, les Pays-Bas, l’Angleterre en possèdent une et que l’Espagne la met actuellement en place. Pourtant, 961 espèces ont été répertoriées sur le territoire d’après l’Inventaire national du patrimoine naturel français et lorsque l’on fait le rapport entre la taille du pays et le nombre d’espèces d’abeilles, on est dans le top 10 au niveau mondial » explique Adrien Perrard. Mais faute de moyens, on ne connait pas bien nos abeilles et parfois nous devons faire appel à des experts hors de France pour identifier des spécimens », ajoute-t-il. Or obtenir un maximum de données est essentiel pour comprendre le déclin des espèces, particulièrement avec le changement climatique ».Certaines espèces bénéficieront sans doute du réchauffement climatique. En France, des abeilles pourront ainsi étendre leurs zones de répartition vers le nord. Or, la diversité des espèces se retrouve principalement dans les zones montagneuses – les Pyrénées, les Alpes du Sud, la Corse –, des territoires bien délimités. Elles risquent de ne plus y bénéficier, avec le temps, de conditions climatiques qui leur conviennent. Ces espèces inféodées aux montagnes, avec une zone de répartition réduite, risquent de disparaître. On commence déjà à l’observer, malheureusement » s’inquiète Adrien Perrard. En attendant, les chercheurs espèrent que leurs travaux ouvriront la porte à une méthodologie plus performante, qui permette de mieux comprendre et préserver les abeilles pollinisatrices à travers le monde. Cette carte signée Geostata permet d’examiner la densité de la population dans le monde. Il est, en effet, plus facile de croiser des voisins à Hong-Kong que dans le Sahara, en raison de la concentration inégale des populations. On note que la majorité de la population mondiale est répartie dans l’hémisphère nord, concentrant 93 % des humains, contre seulement 7 % dans l’hémisphère sud ! Les habitants les plus isolés sont les Australiens et les Néo-Zélandais. L’Inde et la Chine attirent particulièrement l’attention. L’Inde devrait dépasser la Chine en nombre d’habitants d’ici 2022. D’ailleurs, cette photo aérienne de New Delhi, très impressionnante, montre une population indienne en pleine croissance démographique. Les surfaces d’habitation sont devenues de plus en plus restreintes, en raison du surpeuplement. La célèbre photo aérienne au dessus de la ville de New Delhi Si on se sent vaguement à l’étroit en région parisienne, ce cliché, ainsi que la carte, auront bien fait de nous convaincre que la France, et plus largement l’Europe, est finalement peu peuplé en concentration. On ne compte que 98 habitants au km2 en France. D’ailleurs, la France métropolitaine n’apparaît pas dans le classement des pays avec la plus forte densité de population Abattage pour la production agricole, exploitation forestière, feux de forêt, urbanisation et agriculture itinérante, telles sont les cinq causes principales de la déforestation. Un phénomène en progression dans le monde entier selon une étude américaine, parue dans la revue Science, qui présente une carte mondiale de la déforestation, 50 000 km2 de forêts, en moyenne, ont été perdus chaque année dans le monde entre 2001 et 2015. Or la libération de carbone lors des feux de forêt et la diminution de la capacité naturelle des arbres à stocker ce puissant gaz à effet de serre participent à l’augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère. Stopper la déforestation est devenu l’un des enjeux majeurs des politiques climatiques. L’étude parue dans Science est la première analyse s’intéressant aux causes de la déforestation au niveau mondial, explique Paul Leadley, écologue à l’université Paris-Sud. L’organisation mondiale de l’alimentation FAO avait déjà établi des cartes du même genre, mais celles-ci se fondaient sur les statistiques, pas toujours fiables, fournies par les États. Ici, les données proviennent d’images satellitaires. » Parmi les précédents modèles de représentation figure également celui de la Global Forest Watch, une plateforme en ligne qui propose aux internautes une carte interactive de la déforestation. Mais les causes n’y apparaissent pas. Pour réaliser cette carte inédite, les scientifiques américains ont identifié, grâce à Google Earth, cinq profils types de paysages, qu’ils ont associés aux cinq grandes causes de déforestation. Puis un ordinateur a passé au crible les forêts de la planète, via l’imagerie satellitaire, reliant chaque parcelle à l’un de ces profils. Un expert a ensuite vérifié, sur un échantillon représentatif, que la machine avait correctement effectué son travail. On y découvre notamment l’ampleur des pertes forestières liées à l’exploitation de l’huile de palme et du cacao en Asie du sud-est. Une catastrophe écologique largement minimisée par les précédents rapports », pointe Paul Leadley. LA DÉFORESTATION EN 5 CAUSES Analyse des causes de la déforestation, entre 2001 et 2015. En rouge, la part liée à l’industrie agricole ou minière, à la construction, etc ; en jaune, celle due à l’agriculture itinérante ; en vert, à l’exploitation forestière ; en marron, aux feux de forêt ; et, en bleu, à l’ DE © The Sustainability Consortium ; © 2018 université des l’État de l’Arizona et université de l’ % L’AGRICULTURE INTENSIVE, L’INDUSTRIE MINIÈRE, ETC. Les activités agricoles, minières et, plus largement industrielles, sont les principales responsables de la déforestation mondiale. Il s’agit d'abattage non raisonné. La végétation ne va donc pas se régénérer », déplore Paul Leadley. En Amérique du Sud, les arbres sont abattus pour créer des zones de pâturage ; en Argentine et au Brésil, pour planter du soja, qui représente une source importante de nourriture pour le bétail sur le plan mondial. Certaines parties de la forêt amazonienne sont également exploitées à des fins d’extraction minière ou gazière. Toutefois, des mesures ont été prises, notamment par le Brésil, pour protéger les forêts, souligne l’écologue cf notre reportage sur les zones de protection instaurées pour les tribus isolées d’Amazonie. En revanche, en Asie du Sud-Est, la déforestation liée à la culture du palmier à huile et du cacaoyer progresse depuis les années 2000. Le phénomène est d’autant plus inquiétant qu’il affecte des points chauds de biodiversité. » Dans le cadre de l’objectif zéro déforestation 2020 », lancé en 2017 par L’ONG Forest Trends, 450 entreprises agroalimentaires s’étaient engagées à ne pas se fournir en cacao ou en huile de palme issus de zones déforestées d’Asie du Sud-Est. Mais cet objectif est loin d’être atteint, soulignent les auteurs de l’étude. 26 % L’EXPLOITATION FORESTIÈRE Celle-ci concerne principalement l’Europe et l’Amérique du Nord. Elle est liée aux activités de production de papier, de bois de chauffage ou de construction. Son impact est plus ou moins néfaste, nuance le scientifique. Il dépend de la façon dont sont gérées les forêts. En Europe, pratiquement toutes les parcelles boisées sont exploitées, mais en tenant généralement compte de la régénération de la végétation. » Parmi les solutions possibles pour limiter les effets négatifs de l’exploitation forestière, entreprises et consommateurs pourraient veiller à ne plus acheter de bois provenant d’exploitations non respectueuses de la nature. En France, les labels PEFC ou FSC certifient de la bonne exploitation de la forêt. 24 % L’AGRICULTURE ITINÉRANTE Cette pratique agricole, utilisée surtout en Afrique et en Inde, consiste à cultiver une parcelle de forêt, puis à la laisser en friche. Cette méthode de culture traditionnelle, qui utilise le brûlis ou le paillis, est bien plus respectueuse de la végétation que l’agriculture intensive, car elle permet à la forêt de se régénérer », commente Paul Leadley. 23 % LES FEUX DE FORÊT Une bonne part de la déforestation mondiale est liée aux incendies. Les forêts boréales de Russie, du Canada et d’Alaska sont principalement affectées. Ces phénomènes font partie de la régénération naturelle de ces forêts », précise Paul Leadley. Toutefois, les feux de forêt progressent dans d’autres régions du monde. L’Australie, la Suède et la côte ouest des États-Unis ont connu cette année des incendies spectaculaires. Sont-ils liés au réchauffement climatique ? Nous n’avons pas de certitude à ce sujet, mais nous pensons qu'il augmente la fréquence et l’étendue des phénomènes », répond l’écologue de Paris-Sud. MOINS DE 0,6 % L’URBANISATION On entend souvent que cette dernière cause est un facteur majeur de déforestation, mais, globalement, l’expansion des villes ne se fait pas trop au détriment des forêts », avance le scientifique. Les chercheurs ont montré que l’urbanisation était responsable de moins de 1 % de la déforestation mondiale. La région la plus concernée l’Amérique du Nord, avec 2 % de forêts abattues. Thèmes du programme de Géographie, depuis 2016 Thème 1 Habiter une métropole Les métropoles et leurs habitants Cette carte mentale est à distribuer au format A4 à chaque élève et au format A3 en donnant une feuille par groupe. Le format A3 permet aux élèves du groupe de co-construire une production au brouillon, puis de participer à la mise en commun. Programme de révision - Je dois mémoriser et comprendre les définitions de la leçon métropole, croissance urbaine, mobilités, - Je dois mémoriser et comprendre la carte mentale de l'étude de cas n°1,- Je dois mémoriser et comprendre la carte mentale de la leçon G6 n°2,- Je dois savoir situer la ville de Bombay,- Je dois savoir décrire et expliquer la vie des habitants dans une métropole à l'aide des cartes Les villes de demainProgramme de révision - Apprendre les définitions contrainte, atout, irrigation, nomadisme,- Relire trois fois la leçon G4 lisible ci-dessus pour les absents,- Relire le tableau des contraintes,- Relire le croquis de paysage. Thème 3 Habiter les littoraux Pratiquer différents langages. Placez les images satellites du bon coté d'un côté celles du littoral industrialo-portuaire et de l'autre celles du littoral touristique. Thème 4 Le monde habité Exercices d'entrainement pour l'évaluation de la leçon G1 La répartition de la population mondiale et ses dynamiquesProgramme de révision - apprendre les définitions de foyer de population et densité- apprendre la carte de la répartition de la population mondialeFonds de carte pour s'entraîner ou pour réviser Entraînement n°1 Se repérer dans l'espace foyer de population et espace faiblement peuplé Entraînement n°2 Se repérer dans l'espace foyer de population 28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 1817 Nous avons vu en cours les causes de la répartition de la population mondiale. Nous avons dit qu'elles étaient souvent liées aux contraintes naturelles. Nous avons aussi dit que les contraintes naturelles n'expliquaient pas tout car les hommes parviennent parfois à aménager des espaces difficiles. Ils arrivent même parfois à trouver des avantages et à exploiter les richesses de ces territoires difficiles. Voici quelques documents pour illuster cela Pour commencer voici une photographie de la ville de Las Vegas aux Etats-Unis. Cette ville se situe au milieu du désert de Mojave et compte environ 2 millions d'habitants. Cette ville a profité des lois libérales peu sévères de l'Etat du Nevada pour développer une renommée mondiale pour ses casinos; Elle attire de nombreux touristes du monde entier. Autre exemple Quito est la capitale de l'Equateur. Cette ville malgré sa position au coeur de la Cordillère des Andes, à 2850 mètres d'altitude, compte une population supérieure à 2 millions d'habitants. Les causes du peuplement sont ici historiques car le site de Quito était déjà peuplé il y a 3000 ans bien avant l'arrivée des Européens. En 1487, 5 ans avant la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, l'empereur Inca Huayna Cápac y résidait. Quito se trouvait au croisement de plusieurs routes d'échanges et s'est développé grace au commerce. Dernier exemple De nombreuses villes se situent dans des espaces à risques. L'ensemble du Japon se trouve dans des zones sismiques zones soumises aux tremblements de terre. D'autres villes à l'exemple de Naples en Italie, se trouvent au pied de volcans en activité le Vésuve pour Naples. Les populations trouvent un avantage à habiter dans ces lieux et essayent de s'adapter aux risques mais nous y reviendrons dans un prochain chapitre de géographie et en classe de cinquième. Prenons l'exemple de deux villes de Californie aux Etats-Unis, San Francisco et Los Angeles. Ces deux villes se situent comme le montre la carte ci-dessous sur la faille de San Andréas où le risque sismique est très élevé. Ces deux villes ont été plusieurs fois frappées par des tremblements de terre très violent. Et pourtant plus de 10 millions de personnes vivent dans le comté de Los Angeles, et plus de 4 millions dans l'agglomération de San Francisco. San Francisco après le séisme de 1906 San Francisco Aujourd'hui En géographie il faut donc éviter le déterminisme c'est à dire chercher une seule explication à un phénomène. Published by mgouralnik - dans Sixième

carte de la répartition de la population mondiale